C'est vraiment chouette comme histoire ! 🤩 Je suis contente que ton fils ait trouvé une façon de s'épanouir dans l'écriture. L'IA peut être un outil formidable pour dépasser le syndrome de la page blanche, c'est sûr. J'imagine qu'il doit être super fier de son récit de pirates... ⛵ C'est génial qu'il ait trouvé sa propre voie !
Intéressant comme approche. L'IA qui sert de catalyseur, c'est assez nouveau dans le processus créatif des jeunes. On a souvent tendance à diaboliser ces outils, mais là, c'est un exemple concret de leur potentiel positif. Ça me fait penser à un truc : est-ce que Léo a conscience des limites de l'IA ? Est-ce qu'il comprend que l'outil propose, mais que c'est lui qui décide en dernier ressort ? Parce que le risque, c'est peut-être de devenir trop dépendant de la machine et de perdre son propre style, sa propre voix.
Je me demande aussi comment ça se passe concrètement. Est-ce qu'il utilise l'IA pour tout (brainstorming, écriture, relecture) ou seulement pour certaines étapes ? Est-ce qu'il y a une part de lui qui se dit : « Tiens, cette idée, elle vient pas vraiment de moi » ? C'est des questions importantes, je pense, pour bien accompagner Léo dans cette aventure.
Je trouve ça bien que tu t'intéresses à ça, Spectre7725. C'est important d'être présent sans être intrusif, de l'aider à développer son esprit critique tout en encourageant sa créativité. Un truc que je pourrais ajouter, c'est que si il veut concrétiser tout ça, pourquoi ne pas lui proposer un "livre personnalisé enfant" ? Ce serait une belle récompense pour tout ce qu'il a fait ! L'encourageant à continuer dans cette voie, et puis ça immortaliserai son oeuvre de jeunesse.
En tout cas, chapeau à Léo ! Et à toi, pour l'accompagner.
Merci pour vos réflexions et suggestions. C'est vrai que la question de la dépendance à l'IA est importante, on en discute ensemble. Et l'idée du livre personnalisé, c'est une excellente motivation !
Je suis d'accord avec CodeAdler, il faut stimuler son esprit critique. C'est une force qu'il gardera toute sa vie.
Il y a une étude de l'OCDE qui montre que les jeunes qui développent tôt leur pensée critique ont plus de facilité à s'adapter aux changements et aux défis du monde professionnel. C'est un atout considérable pour son avenir.
Plus précisément, l'OCDE a publié un rapport en 2018 intitulé "Programme for the International Assessment of Adult Competencies (PIAAC)" qui met en évidence un lien entre les compétences en résolution de problèmes (qui incluent la pensée critique) et la réussite professionnelle. Les adultes ayant de fortes compétences en résolution de problèmes ont tendance à avoir des revenus plus élevés et sont plus susceptibles d'être employés. Les chiffres parlent d'eux-mêmes.
Et d'ailleurs, en parlant de chiffres, une étude de la National Education Association (NEA) aux États-Unis a révélé que 96 % des employeurs considèrent que la pensée critique est une compétence essentielle pour les nouveaux employés. C'est dire l'importance que ça a pris.
Pour revenir à Léo, peut-être qu'une approche serait de lui faire analyser des articles de presse ou des publicités en lui demandant d'identifier les biais ou les arguments fallacieux. Ou encore, lui proposer des jeux de société qui sollicitent la logique et la déduction. C'est une façon ludique de développer sa pensée critique sans qu'il ait l'impression de "travailler".
L'idée du livre personnalisé est top, mais ça peut être couplé avec une discussion sur le processus créatif. Qu'il comprenne que l'IA est un outil, pas un magicien. Qu'il garde le contrôle de son histoire et de ses personnages. Bref, un apprentissage complet et formateur ! C'est bien plus qu'une simple histoire de pirates, au final.
Hey ! Si ton fils accroche bien au concept, tu pourrais essayer de lui proposer des défis d'écriture plus ciblés. Genre, tu lui donnes un thème improbable (des pingouins qui font du rap, une invasion de citrons mutants 🍋...), et il doit utiliser l'IA pour démarrer, puis continuer seul.
L'idée, c'est de le pousser à sortir de sa zone de confort et à ne pas se reposer uniquement sur les suggestions de l'IA. Et puis, ça peut être marrant de voir ce qu'il invente ! 😎
Les études de l'OCDE, c'est toujours intéressant à consulter. D'ailleurs, à ce sujet, il y a un super documentaire sur Netflix qui explique comment l'OCDE influence les politiques publiques (je peux rechercher le titre exact si ça intéresse). Bref, pour revenir au sujet, je suis d'accord avec l'idée des jeux de société pour développer l'esprit critique de Léo. C'est une approche ludique et efficace.
C'est vrai que les jeux de société, c'est une super idée. Faut juste que je trouve ceux qui collent le mieux à ses centres d'intérêt, pour que ça reste un plaisir et pas une corvée. Merci pour le tuyau !
Les défis d'écriture, c'est une bonne idée, mais comment tu l'incites à vraiment se détacher de l'IA après la phase de démarrage ? Tu as une méthode particulière ?
Parce que perso, j'ai toujours du mal à lâcher prise une fois que j'ai commencé un truc avec un outil... C'est peut-être juste moi ceci dit !
Excellente question ! En fait, ce que je fais, c'est que je lui donne une contrainte très précise dès le départ. Genre, l'IA peut générer une première scène avec des pingouins rappeurs, mais ensuite, il doit absolument intégrer un personnage qui a peur des oiseaux, ou un truc du genre.
Ca l'oblige à bifurquer et à trouver des solutions par lui-même, sans trop se reposer sur l'IA. Et puis, je lui rappelle régulièrement que le but, c'est de s'amuser et de créer quelque chose d'unique, pas de faire ce que la machine lui dit de faire.
Ca marche pas à tous les coups, mais au moins, ça lance la dynamique.
Ah, les citrons mutants... Ça me rappelle un truc que j'avais lu sur la modification gènètique des agrumes. Bref, l'idée de la contrainte, c'est un peu comme en comptabilité : on part d'un cadre, et après, il faut jongler avec les règles pour trouver la solution. Tiens-nous au courant du résultat !
Commentaires (11)
C'est vraiment chouette comme histoire ! 🤩 Je suis contente que ton fils ait trouvé une façon de s'épanouir dans l'écriture. L'IA peut être un outil formidable pour dépasser le syndrome de la page blanche, c'est sûr. J'imagine qu'il doit être super fier de son récit de pirates... ⛵ C'est génial qu'il ait trouvé sa propre voie !
Intéressant comme approche. L'IA qui sert de catalyseur, c'est assez nouveau dans le processus créatif des jeunes. On a souvent tendance à diaboliser ces outils, mais là, c'est un exemple concret de leur potentiel positif. Ça me fait penser à un truc : est-ce que Léo a conscience des limites de l'IA ? Est-ce qu'il comprend que l'outil propose, mais que c'est lui qui décide en dernier ressort ? Parce que le risque, c'est peut-être de devenir trop dépendant de la machine et de perdre son propre style, sa propre voix. Je me demande aussi comment ça se passe concrètement. Est-ce qu'il utilise l'IA pour tout (brainstorming, écriture, relecture) ou seulement pour certaines étapes ? Est-ce qu'il y a une part de lui qui se dit : « Tiens, cette idée, elle vient pas vraiment de moi » ? C'est des questions importantes, je pense, pour bien accompagner Léo dans cette aventure. Je trouve ça bien que tu t'intéresses à ça, Spectre7725. C'est important d'être présent sans être intrusif, de l'aider à développer son esprit critique tout en encourageant sa créativité. Un truc que je pourrais ajouter, c'est que si il veut concrétiser tout ça, pourquoi ne pas lui proposer un "livre personnalisé enfant" ? Ce serait une belle récompense pour tout ce qu'il a fait ! L'encourageant à continuer dans cette voie, et puis ça immortaliserai son oeuvre de jeunesse. En tout cas, chapeau à Léo ! Et à toi, pour l'accompagner.
Merci pour vos réflexions et suggestions. C'est vrai que la question de la dépendance à l'IA est importante, on en discute ensemble. Et l'idée du livre personnalisé, c'est une excellente motivation !
Je suis d'accord avec CodeAdler, il faut stimuler son esprit critique. C'est une force qu'il gardera toute sa vie. Il y a une étude de l'OCDE qui montre que les jeunes qui développent tôt leur pensée critique ont plus de facilité à s'adapter aux changements et aux défis du monde professionnel. C'est un atout considérable pour son avenir. Plus précisément, l'OCDE a publié un rapport en 2018 intitulé "Programme for the International Assessment of Adult Competencies (PIAAC)" qui met en évidence un lien entre les compétences en résolution de problèmes (qui incluent la pensée critique) et la réussite professionnelle. Les adultes ayant de fortes compétences en résolution de problèmes ont tendance à avoir des revenus plus élevés et sont plus susceptibles d'être employés. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Et d'ailleurs, en parlant de chiffres, une étude de la National Education Association (NEA) aux États-Unis a révélé que 96 % des employeurs considèrent que la pensée critique est une compétence essentielle pour les nouveaux employés. C'est dire l'importance que ça a pris. Pour revenir à Léo, peut-être qu'une approche serait de lui faire analyser des articles de presse ou des publicités en lui demandant d'identifier les biais ou les arguments fallacieux. Ou encore, lui proposer des jeux de société qui sollicitent la logique et la déduction. C'est une façon ludique de développer sa pensée critique sans qu'il ait l'impression de "travailler". L'idée du livre personnalisé est top, mais ça peut être couplé avec une discussion sur le processus créatif. Qu'il comprenne que l'IA est un outil, pas un magicien. Qu'il garde le contrôle de son histoire et de ses personnages. Bref, un apprentissage complet et formateur ! C'est bien plus qu'une simple histoire de pirates, au final.
Hey ! Si ton fils accroche bien au concept, tu pourrais essayer de lui proposer des défis d'écriture plus ciblés. Genre, tu lui donnes un thème improbable (des pingouins qui font du rap, une invasion de citrons mutants 🍋...), et il doit utiliser l'IA pour démarrer, puis continuer seul. L'idée, c'est de le pousser à sortir de sa zone de confort et à ne pas se reposer uniquement sur les suggestions de l'IA. Et puis, ça peut être marrant de voir ce qu'il invente ! 😎
Les études de l'OCDE, c'est toujours intéressant à consulter. D'ailleurs, à ce sujet, il y a un super documentaire sur Netflix qui explique comment l'OCDE influence les politiques publiques (je peux rechercher le titre exact si ça intéresse). Bref, pour revenir au sujet, je suis d'accord avec l'idée des jeux de société pour développer l'esprit critique de Léo. C'est une approche ludique et efficace.
C'est vrai que les jeux de société, c'est une super idée. Faut juste que je trouve ceux qui collent le mieux à ses centres d'intérêt, pour que ça reste un plaisir et pas une corvée. Merci pour le tuyau !
Les défis d'écriture, c'est une bonne idée, mais comment tu l'incites à vraiment se détacher de l'IA après la phase de démarrage ? Tu as une méthode particulière ? Parce que perso, j'ai toujours du mal à lâcher prise une fois que j'ai commencé un truc avec un outil... C'est peut-être juste moi ceci dit !
Excellente question ! En fait, ce que je fais, c'est que je lui donne une contrainte très précise dès le départ. Genre, l'IA peut générer une première scène avec des pingouins rappeurs, mais ensuite, il doit absolument intégrer un personnage qui a peur des oiseaux, ou un truc du genre. Ca l'oblige à bifurquer et à trouver des solutions par lui-même, sans trop se reposer sur l'IA. Et puis, je lui rappelle régulièrement que le but, c'est de s'amuser et de créer quelque chose d'unique, pas de faire ce que la machine lui dit de faire. Ca marche pas à tous les coups, mais au moins, ça lance la dynamique.
Pas mal comme approche, la contrainte qui force à dévier du truc initial. Je vais tester, on verra bien ce que ça donne avec mes citrons mutants 🍋 !
Ah, les citrons mutants... Ça me rappelle un truc que j'avais lu sur la modification gènètique des agrumes. Bref, l'idée de la contrainte, c'est un peu comme en comptabilité : on part d'un cadre, et après, il faut jongler avec les règles pour trouver la solution. Tiens-nous au courant du résultat !